Cinq conseils de DocPath pour rendre “plus verte” votre infrastructure IT

• À l’occasion de la Journée mondiale de l'Environnement, l’éditeur de logiciels d’éditique et de gestion documentaire offre aux entreprises une série de propositions pour amortir leurs coûts et mieux rentabiliser leur infrastructure IT.

Madrid, 4 juin 2010 - Le Green IT a cessé d’être une simple mode et occupe désormais une place de choix dans l’agenda des responsables Système de toutes sortes d'entreprises. À une époque où les services doivent en faire plus avec moins, la mise en place de ce type de politiques éco-responsables permet d’augmenter l'efficacité d'une organisation, d’amortir ses coûts et d’améliorer son image de marque.

"Les conséquences du changement climatique sont désormais perceptibles par tout le monde. Si les citoyens doivent adopter des pratiques de consommation durable, la responsabilité sociale des entreprises est sans doute bien supérieure. Grâce à la technologie, réduire la consommation énergétique et les émissions de CO2 est à la portée de chaque organisation. On peut y arriver facilement, par exemple, en pariant pour une solution d’éditique", assure Julio Olivares, président et fondateur de DocPath.

Selon IDC, les entreprises européennes dépensent en moyenne 300 euros par an et par salarié en services d'impression et de numérisation. Cependant, dans certains secteurs, ce chiffre peut atteindre 740 euros.

Ces données économiques ont également un impact sur l'environnement. En Espagne, par exemple, la consommation de papier par personne et par an est de 176 kg, dépassant de 21 pour cent la moyenne des pays de l'Union européenne, qui est de 139 kg par habitant.

DocPath, éditeur de logiciels spécialisé en éditique et en gestion des processus documentaires, fournit les recommandations suivantes pour aider les entreprises à être plus éco-responsables et à amortir leurs coûts de façon significative:

1. Mettre en œuvre un système de contrôle des impressions peut aider les organisations à mieux maîtriser tous les travaux qui s’impriment dans leurs bureaux. Ce type d’application permet d’établir des quotas périodiques par utilisateur ou par service, et d’obtenir une vision détaillée de toute l’infrastructure d’impression grâce à des rapports personnalisés.
2. Essayer, dans la mesure du possible, d’imprimer au maximum en noir et blanc, d’utiliser les feuilles recto/verso, et d’employer les imprimantes couleur seulement lorsque les besoins métier l’exigent. Il ne faut pas oublier que celles-ci consomment plus d’énergie que les monochromes et que leurs encres sont bien plus chères.
3. Utiliser une solution logicielle pour traiter tous les documents sous forme de fichiers informatiques, peut augmenter la productivité et amortir les coûts liés à l’impression et à l’archivage du papier.
4. Employer des équipements tout en un capables d’imprimer, de copier, de scanner puis d’envoyer, et de recevoir des documents électroniques par e-mail, permet de réduire aussi bien les coûts que la consommation énergétique, de par l’utilisation d’un nombre inférieur de machines.
5. Susciter un changement de mentalité parmi les employés, et parvenir au “bureau sans papier”. Grâce à une série de mesures et d’incitations, il est possible de réduire les impressions année après année. Offrir des bonus aux services qui utilisent le moins de papier peut être une bonne idée, car ainsi les salariés réfléchiront à deux fois avant de lancer une impression.